Une artiste de cirque et un scientifique de laboratoire se retrouvent comme par magie dans une pièce entourée de vitre, une sorte d’aquarium. S’ensuit un dialogue plein d’humour et un brin philosophique. Des réflexions légères qui côtoient des pensées plus profondes et un rythme soutenu, le tout baigné dans l’univers bien particulier de Bernard Werber, nous apportent, au compte-goutte, la clé du mystère. Le regard que nous propose l’auteur est insolite. C’est un peu comme si on inversait les rôles entre les animaux exploités et les hommes. Sauf qu’ici, on n’inverse pas vraiment, on change de dimension. D’où l’intervention extraterrestre…
Au final, cette pièce de théâtre, écrite à mon avis sans grande prétention, nous offre une belle réflexion sur le sort que les humains font subir aux autres espèces animales, et sur la place, bien minuscule, de l’humanité dans l’univers.
Une artiste de cirque et un scientifique de laboratoire se retrouvent comme par magie dans une pièce entourée de vitre, une sorte d’aquarium. S’ensuit un dialogue plein d’humour et un brin philosophique. Des réflexions légères qui côtoient des pensées plus profondes et un rythme soutenu, le tout baigné dans l’univers bien particulier de Bernard Werber, nous apportent, au compte-goutte, la clé du mystère. Le regard que nous propose l’auteur est insolite. C’est un peu comme si on inversait les rôles entre les animaux exploités et les hommes. Sauf qu’ici, on n’inverse pas vraiment, on change de dimension. D’où l’intervention extraterrestre…
Au final, cette pièce de théâtre, écrite à mon avis sans grande prétention, nous offre une belle réflexion sur le sort que les humains font subir aux autres espèces animales, et sur la place, bien minuscule, de l’humanité dans l’univers.