La porte des serpents

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J’avais abouti Dieu sait où. Sûrement pas en France. Le prédateur rouge qui étalait son ventre marbré, hérissé de flèches, avait tout d’un lynx. Un lynx géant, devrais-je préciser. Et je n’étais pas au bout de mon étonnement. En m’approchant pour identifier le tireur, j’ai découvert, dans toute sa gloire, un magnifique centaure. Je ne suis ni petit, ni malingre, mais à n’en pas douter, il pouvait me casser en deux d’une seule main.

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